Chouettes mouettes...suite.

Publié le par Robinson


 Chouettes mouettes…suite…


Je n’aurai pas le temps, pas le temps…

De programmer des indices…d’autant plus que je n’ai pas retrouvé le site !...

En fait, il s’agissait du « plus important ouvrage sanskrit sur l’amour et l’érotisme, écrit par Vatsyayana, probablement entre le IVème et le VIIème siècle… »…source : Dictionnaire encyclopédique HACHETTE 2002…Le Kama sutra ...

Et le site parlait des "ailes croisées des mouettes"...
C’est ça qui m’a inspiré le texte…et quelques autres écrits, non publiés à ce jour …

Bon, je pars en vacances…
A bientôt !

Publié dans Humeurs

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O
Petit coucou en passant Robinson ! Le son était "allumé" sur mon ordi et j'ai eu la surprise d'entendre une musique en fond sonore. Est-ce qu'il ne s'agit pas de "Cinq colonnes à la une "? Je ne suis pas sûre.J'espère que tu passes de bonnes vacances. Bisous ! 
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R
<br /> Je n'ai pas changé de musique depuis mon début (il faudrait que j'y pense)...J'ai "dans les steppes de l'Asie Centrale" de Borodine, et "La Symphonie du Nouveau Monde", de Dvorak...<br /> Bon, les vacances sont finies...Ca fait du bien!...Si j'en trouve le temps, j'ai ramené plein de choses à publier...<br /> Bisous, Oxygène!<br /> <br /> <br />
V
Attention commentaire très recherché....pour adulte... C'est de ta faute Robinson, fallait pas commencer... bisousLe vol des mouettes<br /> <br /> Au cours des relations sexuelles, il n’est guère possible de contempler toute l’anatomie  de l’être aimé. Pour celui que la vue des seins transporte de plaisir, la posture du vol des mouettes est idéale. La poitrine de la femme s’étale devant l’homme, à portée de caresses et baisers ; l’absence d’effort physique nimbe le visage de l’amante d’une douceur que l’homme aura plaisir à métamorphoser en rictus de jouissance, au cours du coït. <br /> <br /> <br /> <br /> La femme repose confortablement à plat dos sur le matelas, de la tête jusqu’au bassin. Ses fesses sont à moitié hors du lit. Ses pieds posés à terre évitent qu’elle ne glisse ; ses cuisses écartées offrent sa vulve de façon très suggestive à son partenaire qui en sera probablement excité. Qu’il ne se presse pas, pourtant ! Il s’agenouille entre les cuisses de la femme et peut précéder la pénétration d’un cunnilingus ou d’autres stimulations qui attiseront le désir de chacun : par exemple guidant son pénis manuellement, l’homme en caresse le pubis de la femme, qui, au comble de l’excitation, réclamera d’être pénétrée. <br /> L’homme étant agenouillé, son buste reste droit ; ainsi sa verge est parallèle au vagin qu’elle pénètre maintenant. Cet angle assez inhabituel - généralement dans les postures où l’homme chevauche la femme, le pénis a un mouvement descendant - procure des sensations fortes et inédites à chacun. L’homme effectue des mouvements vigoureux qui “transpercent” la femme. Celle-ci ne peut guère bouger, mais peut tout de même accompagner de quelques balancements des fesses les coups de reins de son partenaire. Pour la femme, cette position est avantageuse, puisque les muscles du dos, pour une fois, ne sont pas sollicités. <br /> Le vol des mouettes, par le plaisir intense qu’il provoque, est une façon originale de s’accoupler. Cette posture, en associant la tendresse du regard et des caresses à la fougue des désirs conjugués, renforce la relation amoureuse.<br /> Anaïs Barthélémy
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R
<br /> Coucou! j'arrive et je me demande comment tu as pu oser penser que j'avais pu penser à ça! Je ne vois pas de quoi tu parles! M'enfin, je suis bien trop<br /> jeune pour avoir de telles idées!...Mais, bon, on se retrouvera!<br /> Bisous, Vivi!<br /> <br /> <br />